Devoir de Philosophie

Que faut-il pour être heureux ?

Publié le 13/05/2010

Extrait du document

 

I.                  Qu'est-ce qu'être heureux ?

 

A.    L'insuffisance de l'euphorie

B.     L'insuffisance du plaisir

C.     le bien-être et la renaissance des désirs

D.    Texte d'Aristote : la connaissance doit être traduite dans l'action. Le bonheur comme activité

 

Conclusion : L'acceptation de soi, acceptation de la réalité, de l'ordre des choses : pas résignation paresseuse mais travail sur le désir, sagesse. La quiétude comme définition du bonheur accessible à l'homme raisonnable.

« l'animal).L'illusion du libre arbitre : analogie homme / âne de Buridan.

Le besoin de cause pour agir.

Une action sanscause est-elle impossible ? I.

Les limites du libre arbitre A.

liberté de fait / liberté de droit 1.

La liberté naturelle ou liberté de fait 2.

la liberté civile ou liberté juridique B.

La volonté est-elle influencée par des causes ? 1.

Le poids du passé, le rôle de l'enfance ( + études des notions : la conscience, l'inconscience, l'inconscient, l'interprétation, autrui) 2.

Le poids de la culture 3.

Etre esclave de ses désirs Le libre arbitre ne suffit pas à définir la liberté.

Aporie. Peut-on penser une forme d'action qui ne soit pas gouvernée par le contexte, un héritage historique, des désirs, desintérêts ? II.

La liberté morale ou autonomie rationnelle Le libre arbitre a tendance à suivre les désirs (Agir par amour, ce n'est pas agir avec amour.

Quand on agit par amour, le sentiment est le mobile de l'action, son principe.

Agir par pitié : c'est le sentiment de la pitié qui cause l'action).

Le libre arbitre est enclin à être influencé par les intérêts multiples que la vie en société fait surgir etvalorise (carrière, ambition, argent, etc…) Ainsi notre passé et le contexte socio-culturel dans lequel nous évoluons, semblent largement conditionner nosdésirs, nos intérêts, les buts que nous tendons à réaliser dans notre vie quotidienne.

Peut-on penser un typed'action qui ne soit pas motivé par les désirs ? Peut-on penser un type d'action qui ne soit pas orientée par lecontexte socio-culturel, une action qui ne soit pas influencée par des désirs dominant la raison et qui, renaissanttoujours, rendent notre vie analogue au supplice des Danaïdes ? Comment libérer notre action de l'influenceirrationnelle et sentimentale des désirs toujours changeants ? Peut-on agir sans être motivé par un désir et sans que ce soit pour satisfaire un intérêt ? A.

Agir par devoir Lorsque l'on agit pour satisfaire un intérêt, il se peut, d'une part, que l'on soit esclave de cet intérêt particulier : ilrisque de toujours renaître.

D'autre part, cet intérêt particulier ne surgit pas ex nihilo .

Il est causé par un passé, par une histoire personnelle ou une culture : il s'explique.

Ainsi, quand je poursuis un intérêt, il y a une cause à mavolonté.

Celle-ci n'est pas libre.

Je n'agis pas ; je réagis à des motivations extérieures à ma décision rationnelle.

Jeréagis à des sollicitations qui pourraient être fort différentes si j'avais eu une autre histoire, si j'étais née ailleurs et. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles