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La société est-elle ce qui fait les hommes ?

Publié le 22/02/2012

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Introduction : Par « société » on entend en premier lieu tout groupement d'individus, dépendant les uns des autres et agissant selon des concepts communs. En ce sens, il est possible de parler de sociétés animales. Cependant, il ne sera question ici que de sociétés humaines. D'ailleurs, le plus souvent, la « société » désigne exclusivement les groupements humains caractérisés par leur dynamisme, leur capacité à changer, à évoluer, à se donner de nouvelles formes et de nouvelles règles, à se doter d'institutions, etc. De ce fait, les sociétés américaine, européenne et japonaise sont bien des sociétés distinctes. Toutefois, lorsque l'on se demande si la société fait les hommes il semble difficile de ne pas faire intervenir la notion d'individu. Les différentes formes de société semblent pouvoir être caractérisées par le rôle qu'y joue l'individu, par la reconnaissance dont il jouit en tant qu'être singulier, par la considération de ses intérêts particuliers, etc. En effet, les sociétés ne concernent pas seulement les pays, puisque les écoles, les collèges, les lycées sont des sociétés car dans ces cadres évoluent un ensemble de personnes ayant des rapports durables et plus ou moins organisés. De plus, ces individus vivent en groupe et sont amener à se côtoyer de manière fréquente. Par conséquent, « les hommes » s'entendent comme tout être qui se distingue de tous les autres par la raison. Autrement dit, les hommes tels qui sont présentés sont les atomes dont une société est constituée. C'est pourquoi se pose la question du rapport entre la société et les hommes. La société « fabrique » telle les hommes ? Dans un premier moment, il s'agira de voir en quoi la société influence le devenir de l'homme, puis dans une seconde étape, on analysera de quelle manière la société n'agit en aucun cas sur les choix de l'Homme.

« II) La société ne fait pas de l'Homme un homme.

En effet, l'Homme a toujours vécu en société et cela ne fait de luiqu'une espèce en plus qui utilise cette façon de survivre dans la nature.Soit un organe collégial tel que le parlement qui peut avoir plusieurs fonctions.

On suppose que ce parlementcontrôle l'action du gouvernement dans un pays et à le « pouvoir » de faire et de défaire les lois, il est ainsi ledétenteur du pouvoir législatif.

Si, un jeune courtier par exemple, travaillant dans une banque aux Etats-Unis venaità dissimulé 468 millions d'euros à l'aide d'un montage élaboré de transactions fictives.

Grâce à cette institution à labase de la société, une « loi » puni sévèrement cet acte, c'est-à-dire que cet individu est susceptible de prendre auminimum sept ans de prison.En ce sens, l'homme est libre d'acquiescer ou de résister ce que la société attend de lui.

Ainsi, l'homme s'écartesouvent à son préjudice, des règles établies.Soit l'Homme entendu comme un être de raison.

Autrement dit, il a la capacité de crée et d'inventé une constructioncapable de flotter sur l'eau et de s'y déplacer, dirigé ou non par ses occupants.

En ce sens, il répond aux besoins dutransport maritime ou fluvial, et permet diverses activités telles que le transport de personnes ou de marchandises,la guerre sur mer, la pêche, la plaisance, ou d'autres services tels que la sécurité des autres bateaux.Indispensables lors des grandes guerres et des conquêtes.Ainsi, l'homme d'aujourd'hui n'est que le résultat de son évolution.

Il est aujourd'hui ce qu'il a voulu être autrefois.L'homme crée, invente et évolue en même temps. Conclusion : Dans un premier moment, on a été tenté de dire que la société est effectivement de qui fait les hommes.

On s'estrendu compte que les Hommes doit vivre dans une société bien organisée.

Ensuite, on a également vu que la sociétéet ses règles ont une importance capitale dans le fonctionnement et le comportement des hommes.

Cependant, ons'est aussi aperçu que l'homme en tant qu'être intelligent à une influence certaine sur la société.Au final, on peut donc dire que l'homme dépend de la société et inversement. Sujet désiré en échange : du refus romantique de la maladie de Sartre. »

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