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La délinquance est-elle une donnée ou une conquête ?

Publié le 13/12/2009

Extrait du document

Les inégalités sociales sont probablement plus marquées que jamais dans la société et il incombe alors de se demander si ces dernières peuvent avoir des effets sur les comportements des citoyens. La délinquance juvénile, comportement déviant décrit comme étant l'ensemble des comportements prohibés par la loi et les règlements, qui sont le fait de jeunes n'ayant pas atteint la majorité légale est souvent blâmée par plusieurs sur certains groupes ethniques, groupes socioéconomiques ou culturels sans toutefois avoir de fondements statistiques pour appuyer ces affirmations. Étant donné que la mesure de comportements délinquants est assez compliquée il a été jugé plus approprié de tenter de mesurer l'hostilité des jeunes face à l'autorité en fonction de leur milieu de développement socioculturel ou économique.    Il est pertinent de s'intéresser au sujet des tensions entre les jeunes et l'autorité pour plusieurs raisons; notamment que le phénomène de gangs de rues est de plus en plus présent dans la société montréalaise, aussi du fait que la brutalité policière est très souvent critiqué lors d'intervention de policiers envers de jeunes personnes faisant partie de minorités visibles.    Le rapport qui suit contiendra donc d'abord une synthèse des informations apprises au travers la recherche de documents officiels, encyclopédies, monographies et groupes de recherche. D'après ces informations, une question de recherche bien précise pourra être formulée ainsi que l'objectif qui sera éclairé au travers ce travail. Afin de pouvoir établir des questions pertinentes, des indicateurs seront élaborés dans un schéma d'analyse conceptuelle décrivant notre problème. Puis, une méthodologie de recherche sera établie afin de recueillir des données pertinentes à ce niveau. Finalement, les données seront schématisées, analysées et interprétées afin d'établir s'il y a un lien ou non entre l'origine socioculturelle et l'attitude face à l'autorité.

« D'après Edmund W.

Vaz, les délinquants viennent pour la plupart de familles qui vivent dans la pauvreté, dans desmilieux défavorisés.

Il affirme aussi que les jeunes de la classe ouvrière développent des sous-cultures nouvellesavec ses normes et ses attentes propres, et pour laquelle la vertu consiste à défier la moralité de la classemoyenne.

Selon ce même document, les jeunes qui font l'expérience de la négligence, du rejet et des mauvaistraitements physiques ou émotionnels sont plus à risque de devenir délinquants et le manque d'instruction peu aussiêtre un facteur. D'après des travaux récents en criminologie, les chercheurs ont montré que la carte ethnique de Montréal necorrespond pas comme la plus part des gens pense a l'aspect géographique de la criminalité.

Ce n'est donc pas dansles quartiers de la grande communauté urbaine de Montréal où on retrouve une grande proportion ethnologique qu'ondénote le plus grand taux de criminalité.« La criminalité urbaine n'est pas répartie de façon égale ni aléatoire.

Elle est souvent concentrée dans des secteursparticuliers et est associée à d'autres facteurs liés à la population et à l'utilisation du territoire.

» Pair ailleurs, les effets de quartier et la désorganisation sociale influence aussi la criminalité chez les jeunes.

L'effetde quartier est définit dans une étude faite par Atkinson et Kintrea en 2001.« Nous pouvons définir les effets de quartier de la façon suivante : le lieu où nous vivons a toujours un effet sur lespossibilités qui nous sont offertes et, par conséquent, sur notre qualité de vie.

Ces possibilités peuvent êtrepositives ou négatives.

Ainsi, chez les enfants, il se peut qu'un milieu géographique défavorisé ou marqué par lacriminalité suscite des comportements antisociaux.» La désorganisation sociale est une théorie développée par l'École de sociologie urbaine de Chicago (Shaw et McKay,1942) selon laquelle la criminalité et autres comportements déviants sont le plus susceptibles de se produire lorsqueles institutions sociales ne sont pas en mesure de diriger et de contrôler les groupes d'individus.

Ces deux définitionsnous aide à comprendre comment certains mauvais quartiers et certaines institutions qui font défaut influence lesjeunes dans la criminalité.

Le système québécois de protection de la jeunesse comporte des certaines failles.

Eneffet, beaucoup de jeunes immigrants sont mal protégés par le système québécois .

Ces jeunes peuvent être doncune proie facile pour les gangs de rues qui sont une alternative intéressante pour ces jeunes en manqued'encadrement.

Certains chercheurs ont essayé de voir s'il y a un lien entre la drogue et la délinquance chez lesjeunes.

La drogue est souvent reliée dans les crimes violents surtout dans le milieu des gangs de rues.

Des étudesont était faite pour voir si il y a bel et bien un lien entre la délinquance et la consommation de drogue.

Dans l'étudefaite par (Braithwaite, Conerly,Robilard,Stephens et Woodeing,2003) les chercheurs sont arrivé a dire qu'il y a destrès grandes chance qu'un adolescent ai des comportements délinquants s'il consomme des drogues illicites. Les jeunes peuvent être attirés par les gangs de rue s'ils sont quelque peu délinquants.

Les gangs de rue peuventleur fournir un lieu d'appartenance, une famille, une protection physique, un soutient social, de la solidarité, de sesentir valorisé, de l'argent, du pouvoir et un statut qui peut être absent dans leur vie.

Les signes qu'un jeune estpeut-être dans un gang de rue sont qu'il semble s'habiller selon un code vestimentaire, il porte des vêtement queson argent de poche ne lui permet pas de se procurer, il a de moins en moins d'intérêt pour l'école, il ne fréquenteplus son groupe d'amis habituel et fréquente des plus vieux qui porte des surnoms, il consomme de l'alcool et de ladrogue, etc.

on affirme que certaines culture valorisent plus les études que les Québécois.

La culture de l'effort etde la persévérance serait différente selon l'origine ethnique.

Ces signes et facteurs nous ont aidés à construirenotre schéma conceptuel. La soumission à l'autorité est jugée négative par la société.

Les jeunes suivent les modèles qu'on leurs fournis.

Danscertains quartiersLa famille n'est plus aussi stable quautrefois.

Les jeunes font face à une autorité qui manqued'harmonie.

L'autorité parentale est affaiblie par l'individualisme.

La disparition de l'Église serait un facteur de cetaffaiblissement.

30,2% des jeunes affirment qu'il est mieux de suivre sa conscience que d'obéir à l'autorité.

91% desjeunes ont répondu que ce qui les influençait à consommer était le plaisir. Pour continuer, Il fallait savoir quel était les sorte de violence les plus fréquente pour nous aider à approfondir cetteaspect.

Voici quel que sorte de violence visible qui sont le plus souvent utilisé : la violence physique (coups,blessures, meurtre) ou moral (harcèlement verbal ou procédurier, harcèlement sexuel, racisme, etc.) .

Selon lesstatistique, 603 jeunes québécois de 12 à17 ans.

Il y a 23% avoir dit été victime de la violence psychologique ou19,8% physique. Dans nos lectures que nous avons peu faire dans le but de notre recherche, on a lu que la plupart des jeunesdélinquants subissent tous de la violence physique et psychologique soit à la maison, les lieux public, à l'école etc.Le jeune qui subit de la violence dans leur milieu familiale allait le reproduire dans d'autre endroit comme dans lacours d'école ou dans la rue et même pour les gens qui travaillent peuvent en faire autant dans ce milieu.

De plus,les jeunes peuvent se faire insulté pour plusieurs raison et même elle peut amener à de la violence physique exemple: l'origine ethnique, la langue, l'orientation sexuelle, les relations amoureuses ou amicales.

Sauf que, nous avons puvoir avec ces lectures c'est que les gens qui ont été victime de mauvais traitement dans leur jeunesse.

Les actesreçus vont se répercuter d'actes violents envers leur propre enfant et leur entourage. De plus, se qui nous a le plus surpris c'est que la police et l'armé du pays a le droit a une forme de violence sur lesgens pour faire respecter l'ordre et le respect dans le pays, mais il y a des limites à leur pouvoir cette loi s'appliqueseulement si le gouvernement l'exige comme dans divers cas exemple : insoumission mais aussi de manifestation, decrise insurrectionnelle, d'émeutes.. »

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