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Est-il vrai que le travail permette à l'homme d'avoir une dignité ?

Publié le 27/02/2008

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travail
Est-il vrai que le travail permette à l'homme d'avoir une dignité ?
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« éléments donnent l'impression qu'elle est un ailleurs, elle invite le poète à un voyage des sens, tout ses sens sont sollicités : « que j'aime voir » ; « acres parfum » ; « vin de bohême » ; « chevelure profonde » ; « glacier grondant ». • Cf.

aussi « La Chevelure ». C- Inquiétudes et mort • Si le poète reconnaît la beauté de la femme, lui confère également des traits néfastes, et souvent vers la fin du poème (après avoir célébré la femme). Ex : dans « Le serpent qui danse », parle des yeux de Jeanne => Yeux > « Sont deux bijoux froids où se mêlent / L'or avec le fer ».

« Froids » et « fer » ne sont pas très mélioratif. + • Baudelaire insiste également sur la paresse de sa maîtresse qui est : « chère indolente » ; « Belle d'abandon » ; « Sous le fardeau de ta paresse / Se balance avec la mollesse / D'un jeune éléphant » > pas très positif (pas un compliment…). • « On dirait un serpent qui danse Au bout d'un bâton » => Femme inquiétante • Baudelaire évoque la mort de sa compagne (=> ce qui est loin d'être flatteur pour elle). Cf.

« Une charogne ». Cf.

« Remords posthume » > poème qui détaille le destin réservé après la mort de Jeanne. Texte très peu élogieux > bilan amer et cruel d'une relation qui n'a su satisfaire Baudelaire, source de plus de souffrances que de bonheur.

Cf.

le vers final : « Et le ver rongera ta peau comme un remords.

» III- Les poèmes « du mal », le poète maudit A- Poète maudit condamné • audelaire fut condamné pour délit d'outrage à la morale publique.

Il s'agit des poèmes Les Bijoux , Le Léthé , À celle qui est trop gaie , Lesbos , Femmes damnées et Les Métamorphoses du vampire > Poèmes concernant surtout les lesbiennes, faisant leur apologie > extrêmement choquant à l'époque. Ex : dans « Sed non satiata », après avoir célébré la femme > rappelle sa tendance homosexuelle, lorsque le poèten'avoue ne pas être une femme : « Proserpine ».

Provocation.

B- Érotisme très poussé • Dans certains poèmes, Baudelaire pousse très loin l'érotisme et l'on peut même parler de pornographie.Cf.

« Les Bijoux » :« Elle était donc couchée et se laissait aimer,Et du haut du divan elle souriait d'aise À mon amour profond et doux comme la mer,Qui vers elle montait comme vers sa falaise ».

Décrit clairement l'acte amoureux + le plaisir.Cf.

« Le Léthé » :« Je veux longtemps plonger mes doigts tremblantsDans l'épaisseur de ta crinière lourde ;Dans tes jupons remplis de ton parfum ».

NB : La crinière ne désigne ici pas les cheveux !• Violence par les mots de Baudelaire > sadisme.Ex : dans le poème « À celle qui est trop gaie » :« (…) Et faire à ton flanc étonnéUne blessure large et creuse, Et, vertigineuse douceur !À travers ces lèvres nouvelles,Plus éclatantes et plus belles,. »

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